LA VRAI RENTRÉE DE L'IMMOBILIER NEUF C'EST MAINTENANT
L'année 2020 aura été une année très éprouvante pour le secteur de l'immobilier et du BTP. Jamais une industrie aussi lourde n'aura autant près de vaciller frappé de plein fouet par l'arrêt des travaux sur les chantiers, le confinement de circonstance qui s'en est suivi, et la baisse des ventes. Où en sommes nous six mois après cette crise sanitaire d'ampleur ? Quelles sont les perspectives de reprises à court et moyen terme ? Le point sur la question avec Nicolas VIALE Président et fondateur de INEUF.com
Cet arrêt brutal et total de nos échanges est le caractère qui a changé la donne de cette crise, ouvrant la voie à de nouveaux modes de vies et rationalisant nos besoins et envies au strict minimum lorsque ce n'était pas plus simplement à ce qui était possible.
Jamais l'air que nous avons respiré -pendant ce confinement- n'aura été si pur... et si bon marché !
La transition nécessaire est cependant difficile et douloureuse à aborder : le déconfinement et le retour au poste de travail aura été dans certains cas plus que délicat, et le reprise des activités n'en reste pas moins lente et progressive... secteur par secteur, zone par zone.
Ceci pourrait nous paraître presque normal si ce n'est qu'au passage chaque jour lève un peu plus le voile sur les dommages collatéraux de la crise sanitaire, à savoir des faillites et cessations d'activités en cascade, et une recrudescence sans précédent du chômage, laissant des pans entiers des sociétés occidentales entre récession et crise de l'emploi.
Les différents secteurs de l'économie sont encore en train de dénombrer et compter leurs pertes, cependant que les banques réduisent leur volume d'engagement compte-tenu du manque de lisibilité et de visibilité à court-terme, et dans un contexte politique encore sous le choc de l'ampleur de cette crise.
D'aucuns pensent que l'impact de la crise sanitaire aura un effet ressenti démultiplié sur le plan économique, encore plus fort que le tragique effet constaté sur le plan purement sanitaire. Les chiffres et statistiques de fin d'année nous le confirmeront.
L'immobilier et la construction sont au cœur de ce processus de relance que ce soit en local, au national, et bien sûr à l'international si nous voulons relancer les économies et en même temps endiguer les vagues migratoires qui se profilent à l'horizon. En effet, la valeur d'utilisation d'un bien immobilier autant que les moyens nécessaires à sa construction, son bon usage et sa sauvegarde sont des éléments qui restent le socle de nos modèles économiques, et le moteur de notre comportement consumériste et sociétal.
Dans ce contexte il faudra inévitablement tirer les leçons de cette crise afin de non pas faire un copier-coller des recettes du passé, mais bel et bien de recréer le code du monde de demain, repenser nos modes de vies, nos besoins, nos envies, nos outils et l'avenir -commun- que nous désirons construire.
Continuer à accumuler la richesse souverainement ou bien partager notre sagesse... c'est le débat.
Mark Twain a écrit un jour "ils ne savaient pas que c'était impossible... alors ils l'ont fait" et c'est maintenant à notre tour de jouer les Candides des temps modernes afin de mener ce projet de mutation à terme, loin de toutes querelles improductives, loin des débats chronophages, juste dans l'action, dans l'acte de re-bâtir.
Nicolas VIALE
Président et Fondateur INEUF.com
Une crise sanitaire aigüe
L'ampleur et la transversalité de cette crise sanitaire aux répercussions multiples a finalement atteint son point culminant avec la mise à l'arrêt -quasi- total de l'économie locale, nationale, et des échanges internationaux. De mémoire d'ancien... même l'époque de la 2ème guerre mondiale n'avait pas eu un impact aussi terrible sur l'économie indépendamment de la destruction massive de bâtiments, car l'économie fonctionnait toujours.Cet arrêt brutal et total de nos échanges est le caractère qui a changé la donne de cette crise, ouvrant la voie à de nouveaux modes de vies et rationalisant nos besoins et envies au strict minimum lorsque ce n'était pas plus simplement à ce qui était possible.
Jamais l'air que nous avons respiré -pendant ce confinement- n'aura été si pur... et si bon marché !
Un monde en mutation
De nouveaux de nouveaux besoins se sont exprimés, de nouvelles envies, de nouveaux espoirs... et dans certains cas, du moins lorsque c'était possible, de nouveaux modes de vies se sont mis en place suite à cette expérience ultime, sorte de Koh-Lanta urbain des temps post-modernes... en télé-travail et en visio-conférence, signes évidentes d'une mutation économique et sociétale en coursLa transition nécessaire est cependant difficile et douloureuse à aborder : le déconfinement et le retour au poste de travail aura été dans certains cas plus que délicat, et le reprise des activités n'en reste pas moins lente et progressive... secteur par secteur, zone par zone.
Ceci pourrait nous paraître presque normal si ce n'est qu'au passage chaque jour lève un peu plus le voile sur les dommages collatéraux de la crise sanitaire, à savoir des faillites et cessations d'activités en cascade, et une recrudescence sans précédent du chômage, laissant des pans entiers des sociétés occidentales entre récession et crise de l'emploi.
Un avenir encore trop flou
Malgré les reprises d'activité, le retard accumulé lors de ces 6 derniers mois reste difficile à rattraper, lorsqu'il n'est tout simplement pas impossible à récupérer laissant place à des pertes nettes et brutales de chiffre d'affaire, dans un contexte où les charges persistent, même en trésorerie décalée.Les différents secteurs de l'économie sont encore en train de dénombrer et compter leurs pertes, cependant que les banques réduisent leur volume d'engagement compte-tenu du manque de lisibilité et de visibilité à court-terme, et dans un contexte politique encore sous le choc de l'ampleur de cette crise.
D'aucuns pensent que l'impact de la crise sanitaire aura un effet ressenti démultiplié sur le plan économique, encore plus fort que le tragique effet constaté sur le plan purement sanitaire. Les chiffres et statistiques de fin d'année nous le confirmeront.
Ils ne savaient pas que c'était impossible... alors ils l'ont fait !
La rentré au sens du déconfinement... du vrai déconfinement... c'est maintenant ! C'est le moment d'appuyer sur le bouton "reset" de notre économie, celui de repartir en avant dans la course, de reprendre notre activité, de définir de nouveaux objectifs et de nous donner les moyens de les atteindre au-delà de toutes logique et de toute sensation de difficulté.L'immobilier et la construction sont au cœur de ce processus de relance que ce soit en local, au national, et bien sûr à l'international si nous voulons relancer les économies et en même temps endiguer les vagues migratoires qui se profilent à l'horizon. En effet, la valeur d'utilisation d'un bien immobilier autant que les moyens nécessaires à sa construction, son bon usage et sa sauvegarde sont des éléments qui restent le socle de nos modèles économiques, et le moteur de notre comportement consumériste et sociétal.
Dans ce contexte il faudra inévitablement tirer les leçons de cette crise afin de non pas faire un copier-coller des recettes du passé, mais bel et bien de recréer le code du monde de demain, repenser nos modes de vies, nos besoins, nos envies, nos outils et l'avenir -commun- que nous désirons construire.
Continuer à accumuler la richesse souverainement ou bien partager notre sagesse... c'est le débat.
Mark Twain a écrit un jour "ils ne savaient pas que c'était impossible... alors ils l'ont fait" et c'est maintenant à notre tour de jouer les Candides des temps modernes afin de mener ce projet de mutation à terme, loin de toutes querelles improductives, loin des débats chronophages, juste dans l'action, dans l'acte de re-bâtir.
Nicolas VIALE
Président et Fondateur INEUF.com